Liste de discussions
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 6h
J’ai déjà poser cette question mais elle na pas répondu à ma question donc je vous la repose
Pourquoi dans cette exercice il y a un angle critique et il est ou sur le dessin
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 7h
Bonjour, on fait la matière nommée: l'addition vectorielle en cinematique
le 4,0 m/s vers le bas est dans l'axe des Y, X ou Z?
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 7h
Bonjour, on fait la matière nommée: l'addition vectorielle en cinematique
le mouvement vertical de 10,0 m/s vers le haut est une addition de 10,0 j? donc dans l'axe des X, Y, ou Z?
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 7h
Bonjour, on fait la matière nommée: l'addition vectorielle en cinematique
je ne comprend pas comment trouver un courant perpendiculaire, comment faire? qu'est ce qu'est perpendiculaire?
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 7h
Bonjour, on fait la matière nommée: l'addition vectorielle en cinematique
je ne comprend pas ce que veut dire 40° sud-ouest, on sais que le sud-ouest est 180° + 45 ° = 225°, mais que veut dire 40° sud ouest??
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 7h
Bonjour, on fait la matière nommée: L'addition vectorielle en cinematique
je ne comprend pas ce numéro:
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 8h
Je ne comprend pas c’est quoi pourquoi il faut calculer l’angle un angle critique et il est où et comment on fait pour savoir dans ce genre d’exercice qu’il se trouve un angle critique
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 9h
Bonjour! J’aimerais savoir, 1/lo x li donne quel paramètre dans le miroir concave? Merci à l’avance!
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 10h
Bonjour!https://www.alloprof.qc.ca/zonedentraide/discussion/112200/questionMais pourquoi exactement la plan-concave ne fait subir qu'une déviation:J'ai fait un schéma en comparant les deux si 1) le rayon est // à AP ou s'il ne l'est pas. Pour celui // à AP, je comprend que le rayon est passe par la normale sur la surface plane de sorte qu'il n'est pas dévié une première fois. Toutefois, si le rayons incident vient avec un angle différent, étant donné qu'on passe d'un milieu A à un milieu B, le rayon devrait quand même être réfracté même si la surface est plane. Du coup, pourquoi il devie moins qu'une lentille biconcave? Merci
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 10h
Bonjour ! Il y aurait-il une erreur dans cette exemple? Quand on converti 16cm en m c'est pas sensé être 0.16?(Au lieu de -62,5, j'ai trouver -6,25). Merci
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 10h
Bonjour! Pourquoi, si nous comparons une lentilles biconcave et une lentille plan-concave, c'est la lentille biconcave qui dévie le plus la lumière? Merci
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 1j
Bonjour!
Je n'arrive pas à comprendre une chose sur les miroirs courbe. Mon prof me parle d'une formule(1/lf=1/di+1/do) et d'un comportement. Mais qu'elle est ce comportement?
Merci!
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Vérifiée par AlloprofPostsecondaire • 1j
Pour le A), ai-je raison de supposer que je dois utiliser la Loi de Snell-Descartes pour trouver le n du milieu inconnu? Si oui je comprend pas quelle données parmi celle présente je dois utiliser dans la formule pour le trouver? Aussi je suis complètement perdue face au b)? Comment dois je procéder ? Attention je fais ma mise à niveau en physique au cégep.
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Vérifiée par AlloprofPrimaire 6 • 2j
Pourquoi ce n'est pas possibles de traverser les trous de vers?
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 3j
Comment de montrer le formule
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 3j
Je ne comprends pas le 10
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 3j
Comment je trouve l’incertitude relative de mon rapporteur d’angle? Je ne comprends pas le calcul
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 4j
Bonjour! QUESTION URGENTE LA REMISE EST À 10H
dans cette analyse est-il plus pertient de mettre que les différences sont a cause d'erreur de lab ou vu que le dernier paragraph fait un petit sommaire c'est correct ne ne pas faire ca?
Pour le premier rayon lumineux, les angles d’incidence et de réfraction sont respectivement de 20,0° et de 13,0°. Comme nous pouvons le remarquer, θR < θi. Selon la loi de Snell-Descartes, θR est inférieur à θi lorsque la lumière passe d'un milieu moins réfringent à un milieu plus réfringent. Ceci est tout à fait cohérent avec notre cas, étant donné que notre premier milieu est l’air, aucun autre milieu ne peut être moins réfringent que ce dernier. Par conséquent, l’indice de réfraction moyen pour chaque rayon devrait être supérieur à n(air) = 1,00. Si l’on applique l’incertitude absolue de ± 0,5° du rapporteur à cercle complet à nos valeurs du rayon numéro un, nous obtenons des intervalles de valeurs possibles pour les angles d’incidence et de réfraction, soit [19,5 ; 20,5]° pour θi et [12,5 ; 13,5]° pour θR. À l’aide de la loi de Snell-Descartes et des couples de valeurs minimum et maximum, nous obtenons un nmin de 1,54 et un nmax de 1,50 pour la lucite. Il est à noter que la valeur du nmax est la même que celle de la valeur théorique de la lucite de 1,50. Toutefois, afin de comparer convenablement l’indice de réfraction du premier rayon au n(lucite)=1,50, on doit plutôt utiliser la moyenne de l’indice de réfraction absolu expérimental entre ces deux valeurs. Ainsi, le résultat de cette moyenne (1,52) confirme effectivement que la lucite est plus réfringente que l’air : n(air) (1,00) < n(lucite) (1,52). Cependant, cette valeur est seulement proche de la valeur théorique attendue et n’est donc pas la même que cette dernière. Toutefois, cette différence observée est normale et serait plutôt à l’origine d’erreurs de laboratoire.
Pour le deuxième rayon lumineux, nos valeurs sont de 40,0° pour θi et de 24,0° pour θR. Lorsqu'on applique l’incertitude absolue du rapporteur à cercle complet de ± 0,5°, nous obtenons les intervalles suivants : [39,5 ; 40,5]° pour θi et [23,5 ; 24,5]° pour θR. Puis, avec chaque couple de valeurs minimales et maximales, les indices de réfraction absolus obtenus grâce à la loi de Snell-Descartes sont de 1,60 pour le nmin et de 1,57 pour le nmax. La moyenne de ces deux valeurs (1,59) est plus élevée que celle du premier rayon. En effet, nous pouvons observer une différence d'environ 0,07 entre ces deux valeurs. D’ailleurs, 1,59 s’écarte un peu plus de la valeur théorique du n(lucite), mais, comme mentionné au premier rayon, cet écart n’est pas anormal et est plutôt attribué à des facteurs expérimentaux.
Pour le troisième rayon, les valeurs expérimentales de 50,0° pour θi. et de 30,0° pour θR, en appliquant l’incertitude du rapporteur à cercle complet, nous donne les intervalles suivants : [49,5; 50,5]° pour θi et [29,5; 30,5]° pour θR . Ces couples d’angles ont ensuite permis aux calculs du nmin de 1,54 et du nmax de 1,52. Cette fois-ci, la moyenne résultante est d’environ 1,53. Cette valeur est très proche de celle du premier rayon, vu que la différence entre les deux n’est que de 0,01 (alors que la différence est de 0,06 avec celle du 2e rayon). Cela dit, nous pouvons également constater qu’encore une fois la valeur expérimentale ≠ au n(lucite) théorique de 1,50 , mais reste tout de même relativement proche de celle-ci.
Pour le quatrième rayon, à partir des valeurs expérimentales de 60,0° pour θi et de 33,5° pour θR , on obtient les intervalles suivants à l’aide de l’incertitude absolue de ± 0,5° du rapporteur d’angle de 360° : [59,5 ; 60,5]° pour θi et [33,0; 34,0]° pour θR.. Puis, à l’aide de la loi Snell-Descartes, nous avons calculer un nmin de 1,56 et un nmax de 1,58. Comparativement aux rayons précédents, la moyenne de ces valeurs (1,57) dépasse également le n(lucite) de 1,50 (d’une différence de 0,07 dans ce cas-là).
Pour le cinquième rayon, les valeurs expérimentales sont de 70,0°±0,5° pour θi et 36,5°±0,5° pour θR. Les intervalles obtenus seraient ainsi de [69,5; 70,5]° pour θi et [36,0; 37,0]° pour θR. Puis, grâce aux couples de valeurs minimum et maximum, le nmin obtenu est de 1,59 et le nmax de 1,57. La moyenne de ces deux valeurs (1,58) est très similaire à celle du quatrième rayon dont l’indice de réfraction moyen était de 1,57. Ceci montre notamment une certaine cohérence entre nos résultats. Toutefois, comme avec le rayon numéro quatre et tous les autres rayons précédents, le même problème se pose : soit il y a une différence entre l’indice de réfraction moyen et la valeur théorique de la lucite (une différence de 0,08 dans ce cas-là).
Afin de mieux comparer l’ensemble de ces valeurs d’indice de réfraction de la lucite par rapport à la valeur théorique, les moyennes de l’indice de réfraction absolu de chaque rayon ont été compilées de sorte à effectuer une moyenne totale dont la valeur est d’environ 1,56. Cette valeur, représentant la réelle valeur expérimentale de l’indice de réfraction de la lucite, présente le même problème dont nous avons pu observer lors des comparaisons effectuées avec les indices moyens des rayons individuels. Soit, il y a une différence entre la valeur de la moyenne totale de l’indice de réfraction (1,56) et la valeur théorique de 1,50 (une différence de 0,06 dans ce cas-là). Ainsi, comme mentionné brièvement au rayon numéro un, en réalité, ces différences observées tout au long de nos interprétations ne sont pas seulement dues à l’erreur absolue du rapporteur à cercle complet. En effet, cela peut être attribué à des erreurs expérimentales, tel qu’un mauvais placement de la lucite sur la ligne horizontale de 90 ° (pouvant altérer la précision des résultats) ainsi que la largeur du faisceau de la source de lumière monochromatique qui rendait plus difficile la détermination précise des θR ciblés. Ainsi, la différence de 0,06 observée entre la moyenne totale et le 1,50 ne fait que souligner la limite de nos instruments en laboratoire et n'invalide pas l'expérience.
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 5j
Bonsoir, pourquoi on peut voir que le n augemente pour le 4e alors que pour le 3e rayon il était plus petit? Merci
, Pour le quatrième rayon, à partir des valeurs expérimentales de 60,0° pour θi et de 33,5° pour θR , les intervalles suivants ont été obtenu à l’aide de l’incertitude absolue de ± 0,5° du rapporteur de 360°: [59,5; 60,5] pour θi et [33,0; 34,0] pour θR. . Ces valeurs on servit au calcul des indices de réfraction absolu maximale de 1,56 et minimale de 1,58 de la lucite grâce à la loi Snell-Descartes. La moyenne de ces valeurs nous donne environ 1,57. Une différence de 0,07 peut être noté en comparaison avec la valeur théorique (1,50) dans ce cas-là.
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 5j
Bonsoir,
Vu que notre professeur nous a pas mentionner d'ecart type ou erreur relative à faire,
est-ce que juste laisser ceci comme cela (sans expliquer trop pourquoi il y a une différence) est correct?
En effet, nous pouvons observer une différence environ 0,07 entre ces deux valeurs. Toutefois, pour l’instant, cette différence est relativement minime et ne diverge pas trop de la valeur théorique du n(lucite).
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 5j
Bonsoir! Quand l'on donne des intervalles, doit-on mettre des unité de mesure?
Ex: [19,5; 20,5] pour θi
Merci!
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 5j
Bonsoir! Est-ce vrai que selon la loi de Snell-Descartes, θR est inférieur à θi si la lumière passe d’un milieu moins réfringent à un milieu plus réfringent?
Merci
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 5j
que veut dire orienté parallèlement au sol dans les différente projectile , c'est MRU ?
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Vérifiée par AlloprofPostsecondaire • 5j
Bonjour,
Qu'est-ce qui créée les lignes de champ dans un champ magnétique?
Merci.
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 6j
Bonsoir! Dans mon analyse je dit ceci: Cependant, cet écart n’est pas seulement dû à l’erreur absolue du rapporteur à cercle complet. En effet, cela peut être attribué à des erreurs expérimentales. Par conséquent, malgré les sources d’imprécisions, l’expérience demeure pertinente vu qu’elle montre de manière relativement fiable le principe de la réfraction dans lucite. Ainsi, la différence de 0,06 observé n'invalide pas l'expérience, elle ne fait que souligner la limite de nos instruments en laboratoire.
Toutefois, est-ce que cela à rellement sa place dans l'anlayse ou cela sonne plus à quelque chose qui devrait être dans la conclusion? Merci
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 6j
Bonsoir! En lien avec cette question!https://www.alloprof.qc.ca/zonedentraide/discussion/111663/questionCette section est déjà mise dans l'anlayse!
En soit, nous devions analyser chaque resultat pour nos rayons, toutefois, je ne vois pas vraiment comment comparer mes résultats entre eux ni avec la valeur théorique directement clairement....
Dois-je à chaque rayon expliquer les différences entre les valeurs ou vu que ceci est dit dans un autre paragraphe de l'analyse, ceci n'est pas nécessaire?:
«Toutefois, comme avec les écarts de valeurs avec nos moyennes pour les rayons individuelle, notre valeur expérimentale de l’indice de réfraction totale n’est pas égale à la valeur théorique de 1,50 et même qu’elle est plus grande que cette dernière de 0,06. Cependant, cet écart n’est pas seulement dû à l’erreur absolue du rapporteur à cercle complet. En effet, cela peut être attribué à des erreurs expérimentales. Par conséquent, malgré les sources d’imprécisions, l’expérience demeure pertinente vu qu’elle montre de manière relativement fiable le principe de la réfraction dans lucite. Ainsi, la différence de 0,06 observé n'invalide pas l'expérience, elle ne fait que souligner la limite de nos instruments en laboratoire. »
Merci!
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 6j
Bonsoir! Je travaille sur un rapport de laboratoire et je me demandais si apres ceci: Ce résultat confirme effectivement que la lucite est plus réfringente que l’air (1 < 1,52), de plus, pour l’instant, cette valeur est relativement proche de la valeur théorique attendue étant 1,50.
Je devrais expliquer un peu pourquoi c'est juste proche ou étant donnée que c'est plus tard expliquer dans l'analyse cela n'est pas nessecaire à faire avec mon premier rayon direction?
Merci!
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 6j
Bonsoir! Je travaille sur un rapport de labo et étant donné qu'il y a 5 rayon à analyser, j'ai peur que je sois trop répétitive...
Pourriez-vous me donner des suggestions sur comment je pourrais peut être rend ça meilleur? Merci!:
Pour le premier rayon lumineux, les valeurs expérimentales de l’angle d’incidence et de réfraction sont respectivement de 20,0° et de 13,0°. À ce qu’on peut remarquer, θR < θi. Selon la loi de Snell, θR est inférieur à θi si la lumière passe d’un milieu moins réfringent à un milieu plus réfringent. Ceci est cohérent avec notre cas, étant donné que notre premier milieu est l’air et qu’aucun autre milieu ne peut être moins réfringent que dernier. Si l’on applique l’incertitude absolue de ± 0,5° du rapporteur à cercle complet, nous obtenons des intervalles de valeurs possibles pour nos angles d’incidence et de réfraction. Soit, [19,5; 20,5] pour θi et [12,5; 13,5] pour θR. Avec chaque couple de valeurs, minimale et maximale, nous avons pu calculer, à l’aide la loi de Snell, un indice de réfraction minimal de 1,54 et maximal de 1,50 pour la lucite. Ces deux résultats ont, par la suite, était utilisé afin de calculer une moyenne de l’indice de réfraction absolu expérimental, cette dernière étant de 1,52. Ce résultat confirme effectivement que la lucite est plus réfringente que l’air (1 < 1,52), de plus, pour l’instant, cette valeur est relativement proche de la valeur théorique attendue étant 1,50.
Pour le deuxième rayon lumineux, nos valeurs expérimentales sont de 40,0° pour θi et de 24,0° pour θR . En appliquant un raisonnement analogue au premier rayon, nous observons encore que θR < θi. Lorsqu’on applique l’incertitude absolue du rapporteur à cercle complet de ± 0,5°, nous obtenons les intervalles suivants: [39,5 ; 40,5] pour θi et [23,5 ; 24,5] pour θR. Avec chaque couple de valeurs minimale et maximale, nous avons pu appliquer la loi de Snell afin de trouver les indices de réfraction absolue minimale de 1,54 et maximale 1,50 expérimentaux pour lucite. Ces données ont servi au calcul de l’indice de réfraction moyen pour la lucite (environ 1,58). Cette valeur est proche de celle du premier rayon, d’une différence de 0,06, montrant une cohérence entre les résultats pour l’instant.
Pour le troisième rayon, les valeurs expérimentales de 50,0° pour θi. et de 30,0° pour θR nous donne, en appliquant l’incertitude du rapporteur à cercle complet, les intervalles suivants: [49,5; 50,5] pour θi et [29,5; 30,5] pour θR.. Ces valeurs minimales et maximales, comme pour les rayons précédents, ont servi au calcul, à l’aide de la loi de Snell, de l’indice de réfraction absolue expérimentale minimale de 1,54, et maximale de 1,52 pour la lucite. Tous comme les rayons précédents, nous avons calculé une moyenne de l’indice de réfraction absolue pour la lucite en utilisant ces deux valeurs, celle-ci étant d’environ 1,53. L’indice de réfraction obtenu est encore relativement proche de celui des rayons précèdent et surtout du premier rayon (vu que la différence n’est que de 0,01) et de la valeur théorique de la lucite.
Pour le quatrième rayon, à partir des valeurs expérimentales de 60,0° pour θi et de 33,5° pour θR , les intervalles suivants ont été obtenu à l’aide de l’incertitude absolue de ± 0,5° du rapporteur de 360°: [59,5; 60, 5] pour θi et [33,0; 34,0] pour θR. . Ces valeurs on servit au calcul des indices de réfraction absolue maximale de 1,57 et minimale de 1,58 de la lucite grâce à la loi Snell. La moyenne des valeurs donne 1,58 pour l’indice de réfraction absolue de la Lucite. Ceci est exactement la même valeur que le deuxième rayon, montrons d’avantage la cohérence entre nos résultats.
Pour le cinquième rayon, les valeurs expérimentales sont de 70,0° pour θi et 36,5° pour θR. Des intervalles de : [69,5 ; 70,5] pour θi et [36,0 ; 37,0] pour θR ont été calculé à l’aide de l’incertitude absolue de ± 0,5° du rapporteur de 360°. L’indice de réfraction absolue expérimentale calculé est de 1,59 pour l’indice de réfraction minimale et de 1, 57 pour l’indice de réfraction maximal. En faisant la moyenne des deux valeurs, nous obtenons un indice de réfraction d’environ 1.58. Nous pouvons remarquer que cette valeur est la même pour le rayon 4 et 2. Nos résultats sont donc cohérents et se rapproche de la valeur théorique de 1,50.
Les moyennes de l’indice de réfraction absolue de chaque rayon ont été compilé de sorte à effectuer une moyenne totale de l’indice de réfraction expérimental de la lucite pour la comparer à sa valeur théorique. De l’opération mathématique, nous obtenons une valeur d’environ 1,56. Toutefois, à ce que l’on peut voir, notre valeur expérimentale n’est pas égale à la valeur théorique de 1,50 et même qu’elle est plus grande que cette dernière de 0,06. Cependant, cet écart n’est pas seulement dû à l’erreur absolue du rapporteur à cercle complet. En effet, cela peut être attribué à des erreurs expérimentales. Par conséquent, malgré les sources d’imprécisions, l’expérience demeure pertinente vu qu’elle montre de manière relativement fiable le principe de la réfraction dans lucite. La différence de 0,06 observé n'invalide pas l'expérience, elle ne fait que souligner la limite de nos instruments en laboratoire.
De ce fait, les erreurs expérimentales sont nombreuses. Tel qu’un mauvais placement de la lucite sur la ligne horizontale de 90°, pouvant altérer les résultats. Également la source de lumière monochromatique utilisée avait un faisceau de lumière relativement large, il était donc difficile de déterminer de façon précise le θR ciblé par la source lumineuse.
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 6j
Qu'est ce que ca veut dire quand un milieu est réfringent?
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Vérifiée par AlloprofSecondaire 5 • 6j
Salut, je ne comprends vraiment pas c'est quoi un indice absolu et un indice relatif dans la loi de la réfraction